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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 17:29
BAC  OUT  2009

Biennale d’Art Contemporain Out Lyon France 2009


biennale art contemporain lyon
Contre

 La Biennale d’art contemporain officielle de Lyon
France 2009

Contre

Thierry Raspail directeur de sa plume

-

« Tout se passe comme si rien ne se passait »

Cherchez l’erreur…
_

Art contemporain

Concept « confus »

-

NON
Á LA
PRÉFIGURATION CULTURELLE
DU POST - FASCISME
GLOBALISTE et MONDIALISTE

-


Avant propos : Ce texte n'est pas corrigé, désirant le mettre en ligne rapidement. Une deuxieme version corrigée et remodelée sera mis en ligne prochainement. Vous pouvez le télécharger, vous le trouvez en version PDF en bas de cette article ou dans la colonne de droite de ce blog. J’ai condensé en quelques pages la présentation de la situation de la création contemporaine dans les arts visuels ou les arts plastiques en France et dans le Monde. Vous expliquer à vous public, scolaires, étudiants et à certains artistes ce qui se cache derrière ce sigle commercial fumeux et fumiste d’« art contemporain », l’histoire et la fonction de ce concept « confus ». Ce texte parle des enjeux de cette biennale officielle d’art contemporain de Lyon 2009 cadenassée par Thierry Raspail autoproclamé directeur artistique alors qu’il n’a jamais rien crée de ses dix doigts et s’accorde ce titre pompeux et fantaisiste. Beaucoup d’artistes contemporains (vivants) s’insurgent contre les prix extravagants, insensés, absurdes, incohérents, irrationnels et inadmissibles de certaines œuvres d’art dans les ventes aux enchères internationales ou chez les grands marchands véreux d’art. L’art et la création artistique n’ont pas pour vocation de se vendre à de telles cotes ou à de telles sommes. Notre activité artistique n’est pas faite pour voler l’argent des salariés, des commerçants, des artisans, des retraités ou des chômeurs et permettre à de très grandes entreprises, à leurs dirigeants, aux spéculateurs, aux gros actionnaires ou aux gros et gras patrons de l’industrie ou de la finance d’aller faire les margoulins et les beaux dans les ventes aux enchères internationales en explosant le prix de vente de ses œuvres contemporaines achetées à grands coups de millions d’euros ou de dollars avec votre argent grâce aux profits juteux et à une suraccumulation abjecte des grands capitaux . Il est évident comme je m’en explique dans ce texte que cette instrumentalisation culturelle à valeur « universelle » et globaliste ultralibérale remplit une toute autre mission. Les artistes qui se plaisent à courir le monde d’expositions en expositions fiers de leurs cotations hors normes ne sont à mes yeux que les clowns de ces prédateurs sanguinaires de la finance ou de la spéculation. Sur toute la planète et surtout en France, la grande majorité des artistes vivent en dessous du seuil de pauvreté dans des pays riches et ils s’enfoncent de jour en jour dans la grande pauvreté et la précarité. C’est avec votre pouvoir d’achat que ces spéculateurs d’œuvres d’art désignés abusivement comme collectionneurs s’amusent et affinent leurs stratégies libérales globalistes, ils jouent avec ces augmentations de salaires ou ces marges refusées depuis trois décennies à vous salariés, à vous petits commerçants, à vous petits artisans ou à vous professions libérales. Mais encore plus grave, cruel et peut-être fatal, en plaçant l’argent dans des places financières offshore non soumis à l’impôt, ils volent et confisquent les moyens nécessaires pour mener à bien les travaux de la recherche, de nos scientifiques qui auront les clés de nos emplois de demain, des solutions à notre santé et ce progrès vital à notre évolution et notre éducation. Le texte politique de propagande rédigé par Thierry Raspail s’inscrit totalement dans le globalisme ultralibéral sachant que les biennales ne sont que les antichambres du marché spéculatif international sur les œuvres d’art, la fabrication de valeurs spéculatives illusoires calquées sur ces fameux subprime qui n’étaient que la fabrication de fausses valeurs boursières et qui a renforcé la crise que nous connaissons avec des délocalisations et un chômage accru. Ce texte explique le véritable rôle des institutions culturelles françaises dans les arts visuels ou les arts plastiques qui ont dans leur processus et leur mécanisme de décision au sein de leurs expositions ou d’achats d’œuvres d’art, de leurs mises en œuvre à leurs sélections d’artistes, des pratiques totalement opaques, arbitraires et discrétionnaires avec des subventions et donc avec l’argent du contribuable français. La mégalomanie obsessionnelle et démesurée de l’oligarchie culturelle française, cette junte culturelle a écarté et rejeté toute notion d’équité dans la diffusion institutionnelle et tout devoir d’inventaire impartial pour la conservation publique des œuvres contemporaines. Une junte culturelle qui a révoqué puis éliminé des champs entiers de la création actuelle française avec des atteintes irréversibles conduites avec des procédés despotiques comme à Lyon avec Thierry Raspail qui a sinistré et a évincé une très grande majorité d’artistes lyonnais avec le soutien des élus au nom de leur sale politique culturelle libérale et clientéliste.


« L’oligarchie culturelle française abreuvée de son savoir universitaire déclaré artificiellement « scientifique » mais qui n’est qu’aléatoire et ultra conservateur par le biais des institutions culturelles et artistiques françaises sectaires qui exclut les artistes qu’elle censure en France déboute ce qui se dérobe à tout jamais, l’œuvre d’art ». Lili-oto

biennale art contemporain lyon

Le concept « confus » d’« art contemporain » à visées globaliste et mondialiste.

C’est le populisme culturel qui a permis une stratégique de la confusion nécessaire à l’extension d’une culture véreuse globalisante ultralibérale administrée par de grands clubs très fermés des gros cartels mondiaux de la finance et de l’industrie. Ces pouvoirs clos ont semé le désordre, le trouble en désorganisant sur toute la planète les nations, les démocraties, leurs services publics, leurs services de santé, de justice, de commerce, d’industrie, d’agriculture, d’éducation et de la culture. Le sigle « art contemporain », terme inventé par des marchands d’art américains pour rafraîchir et rajeunir leur marketing de vente après l’art moderne auprès de leur clientèle a été le fil conducteur de cette stratégie culturelle de la confusion dans les arts plastiques ou les arts visuels. Ce concept « confus » alimente aujourd’hui la culture populiste de masse et il est un prétexte à une industrialisation culturelle de la création contemporaine, une industrie culturelle défendue par Thierry Raspail. L’art contemporain malgré les mensonges de marchands d’art, de commissaires d’exposition, de conservateurs de musée d’art contemporain, de critiques, de certains historiens d’art, n’est rien et ne correspond à aucune mouvance ou mouvement artistique ou à aucune création artistique tangible ces dernières décennies pas plus qu’un référent lié à de nouvelles pratiques artistiques. Les manipulateurs de ces grands clubs ultralibéraux internationaux ont rapidement compris que ce concept « confus » d’ « art contemporain » avait le potentiel fantastique d’un blanc-seing. Un blanc-seing culturel signé « art contemporain » à la disposition des pouvoirs économiques et politiques, des politiciens, des marchands et de certains dirigeants véreux d’administrations ou d’institutions culturelles dans le monde. Une feuille blanche comme carte blanche qui agréera cette politique ultralibérale impérialiste tout en colonisant au nom d’un concept flou et malléable « art contemporain »  les communautés d’artistes et surtout la création contemporaine en contrôlant sa diffusion artistique dans un flux inodore, insipide et soporifique. L’ultralibéralisme et les globalistes ou les mondialistes ne peuvent conquérir la planète culture qu’en anesthésiant les peuples y compris dans la création contemporaine par le contrôle de son espace spécifique de diffusion soumis au dictat de la dissociation et d’un « blanc state ». Pour sa bonne gouverne, il lui faut un blanc-seing régi par un concept « confus », vaporeux, mou, informel et canalisateur. La faculté d’un concept « confus » est de semer la confusion pour temporiser les oppositions puis les gommer. L’hégémonie d’un concept « confus » sur la culture va désorganiser puis désagréger ces dernières décennies les oppositions culturelles entre le conservatisme – progressisme,  progressisme – révolutionnaire, gauche – droite, artistes – acteurs culturels puis plus grave entre art – culture pour affirmer la prédominance du puritanisme culturel anglo-saxon sur la tradition libertaire de la création artistique française, italienne, allemande, russe, autrichienne, espagnole, catalane, nordique, slave et de certains pays asiatiques. La culture globaliste ou mondialiste (à ne pas confondre avec mondialisation) ne conçoit plus l’art comme une entité mais comme un simple relais culturel, une démarche culturelle, un faire valoir économique et idéologique ou voir comme pour les biennales d’art contemporain, de simples escales culturelles. Les biennales d’art contemporain ne sont que les antichambres des grandes foires internationales, une vitrine payée par l’argent public pour les poulains ou futurs poulains des marchands ou agents d’art à la recherche de profits juteux. Cet effondrement d’entité pour l’art équivaut à un renversement d’autorité où l’artiste n’est plus maître de son destin, de sa création et rayure sa conscience. Cette privation d’entité cible en premier lieu l’unité et l’harmonie de l’artiste et de ses œuvres, une perte commanditée par l’oligarchie culturelle mondiale qui biaise et voile le droit éthique et moral de l’auteur créateur sur sa propre production artistique et sa diffusion. Les cultures globalisantes sous le couvert de culture globale et soi-disant « universelle » ont toujours eu pour objectif que se soit sous cet ultralibéralisme despotique (certainement post-fasciste) dans lequel nous vivons ou sous les différents fascismes (hitlérien, mussolinien, et ses cousins ; le stalinisme (le réalisme socialiste), le maoïsme (révolution culturelle) de couper les fondations et les assises de l’art et de la création. Ce globalisme ultralibéral a pour mission de fragmenter la création contemporaine, de diviser, déstabiliser et désorganiser les fauteurs de trouble à l’ordre établi, les artistes et leur maudite liberté de ton et de création fortifier par le concept d’un « en dehors » ou d’un « ailleurs », inventeurs de leur propre codes, signes, symboles ou biotopes et d’une déduction complexe car singulière et du sensible et du sublime. Certains d’entre-nous ont été choqués de voir ce basculement si rapide dans la création contemporaine des avant-gardes artistiques marquées très à gauche à ce nouveau colonialisme économique libéral et sauvage globaliste d’après guerre mais la plupart des avant-gardes possédaient déjà en elles le principe et la substance d’une culture globalisante où se cachait dans sa queue son venin globaliste, in cauda venenum…


Création contemporaine objective.

Cette oligarchie culturelle par sa main mise presque totale en France sur les espaces de diffusion dignes de ce nom transforme la création contemporaine en une expérience socialement organisée, organisable et manipulable. Thématiques, installations démesurées avec cahier des charges à peine voilé, commissaires d’exposition, contraignent l’œuvre à leur discours et à une pensée extérieure à celle de l’auteur créateur. Elle sous-entend de fait que la création contemporaine est organisable par une expérience socialement organisée et extérieure à la pratique de l’expérience esthétique. Cette pensée extérieure supplétive qui ne relève donc pas des champs de l’expérience esthétique ni de la pratique artistique de l’auteur créateur et encore moins de sa liberté de conscience et d’expression présuppose que l’œuvre dans sa destinée originelle et son essence renferme une existence extérieure et indépendante de son créateur. Une existence extérieure qui édicte certains préceptes fondamentaux qui organisent l’œuvre comme le fruit d’une expérience collective socialement harmonisée. Cette forme organisatrice restreint les champs de l’expérience esthétique et la délimite comme un ensemble de propriétés sous-entendant l’existence originelle d’un jugement concordant et déterminant qui objective la création en un processus socialement organisable, concerté et harmonisé comme nous le trouvons dans le design ou les arts appliqués. Une drôle de conception de la création qui affirme de fait le postulat que tout œuvre d’art possède en soi une réalité objective indépendante de la pratique de l’expérience esthétique et des propriétés intrinsèques de l’oeuvre. Par déduction, l’essence de l’œuvre est donc constituée d’un ensemble de propriétés dont cette réalité objective par laquelle les institutions, commissaires d’expositions, les commanditaires s’introduisent dans le processus de création. Malheureusement l’immixtion, l’ingérence ou l’intrusion extérieure à l’ensemble des propriétés intrinsèques de l’œuvre ne relèvent pas d’une propriété constitutive de l’œuvre, ne fait pas parti de sa substance ou de la somme de ses substances mais bien d’un acte, et cet acte ne peut-être que fruit d’un idéalisme ou d’un dogmatisme subjectif qui ne laisse aucune préexistence à une quelconque réalité objective. Cette oligarchie conçoit l’œuvre comme le fruit d’une création contemporaine objective harmonisée, socialisée et concertée qui nie objectivement que l’œuvre procède exclusivement d’une pratique artistique spécifique de l’expérience esthétique qui en est sa véritable source même si elle artistiquement collective ou le fruit de plusieurs artistes. Cette conception de la création contemporaine objective obscurcie l’art et répudie la notion d’auteur créateur. Cette conception rétrograde que nous avons connu sous le fascisme ou le stalinisme et avec certaines avant-gardes dites révolutionnaires mais plutôt staliniennes, alimente, nourri, ce concept « confus » d’ « art contemporain » pour satisfaire un dogmatisme libéral globaliste populiste qui ne vit et s’accroît que sur les décombres et les ruines économiques de sa stratégie mondialiste et globaliste de la confusion économique, politique et culturelle dans nos populations et nos civilisations.
Téléchargez le texte ci-dessous de la biennale d'art contemporain de Lyon OUT

biennale-de-Lyon-art-out-contre-le-post-fascisme.pdf biennale-de-Lyon-art-out-contre-le-post-fascisme.pdf

biennale art contemporain lyon
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Biennale De Lyon 2011 Et 2009